Le coût de ce renforcement sécuritaire est estimé entre "70 à 80 millions" d'euros. Pour financer ce projet, le candidat RN propose de couper les subventions aux "associations amies" et de commander un audit complet des finances, des ressources humaines et du patrimoine foncier de la municipalité. En se positionnant comme le candidat de l'ordre, avec des slogans comme "Avec moi, en mars, le laxisme et l’impunité, c’est fini", il cible directement le maire sortant, Benoît Payan, qu'il désigne comme son principal adversaire. Sa campagne se concentre sur ce qu'il qualifie de "déclin" de Marseille, en particulier dans les arrondissements périphériques, cherchant à capter un électorat lassé par l'insécurité.