Les articles soulignent que les maires et leurs adjoints sont les premières victimes des atteintes contre les élus. Ces agressions prennent des formes variées, allant des attaques sur les réseaux sociaux et des dégradations de locaux jusqu'aux menaces de mort et aux violences physiques.

Cette situation alarmante fait l'objet d'une attention croissante, car elle pourrait décourager de nombreux citoyens de s'engager dans la vie publique locale. Face à ce phénomène, une réforme du statut de l'élu est en discussion et devrait être votée avant le scrutin de mars 2026. L'objectif est de mieux protéger les maires, de leur offrir un soutien plus conséquent et de sanctionner plus sévèrement les auteurs d'agressions. Sans de telles mesures, la crainte est que de nombreuses communes, notamment les plus petites, peinent à trouver des candidats prêts à assumer une charge de plus en plus lourde et risquée. La violence croissante contre les représentants de la République est ainsi perçue comme une menace directe pour la vitalité de la démocratie locale.