Il critique également l'usage des "communications du maire" lors des conseils municipaux pour faire campagne, alors même qu'Hubert de Jenlis n'a pas encore officiellement déclaré sa candidature.

En réponse, le maire d'Amiens rejette ces accusations, qualifiant la rencontre avec les agents d'événement annuel relevant de la "communication interne" et affirmant qu'il agit en tant que "maire au travail". Il soutient que les événements organisés respectent les budgets et les formats habituels.

La saisine du préfet par l'opposition, demandant l'annulation de l'événement et un rappel à l'ordre, installe un climat de méfiance et de confrontation juridique avant même le lancement officiel de toutes les campagnes, dans une ville où d'autres candidats, comme Benoît Mercuzot, sont également en lice.