L'une de ses propositions phares, largement commentée, est le retour partiel des voitures sur la rue de Rivoli, axe emblématique transformé en piste cyclable.

Cette mesure s'inscrit dans sa volonté d'"apaiser Paris".

En parallèle, elle avance d'autres propositions sur les transports, tout comme son rival socialiste Emmanuel Grégoire, marquant le début d'une bataille sur les projets concrets. Son statut de ministre en exercice et sa capacité à rassembler la droite et le centre lui confèrent une position de favorite dans les sondages, bien que la maire sortante Anne Hidalgo ait exprimé son scepticisme quant à ses chances de victoire, rappelant sa mise en examen pour corruption. Déterminée, Rachida Dati balaie les critiques, affirmant : "L’outrance de mes adversaires, je m’en fous".