Bien qu'il ait reconnu n'être « Mentonnais ni de lignée, ni d’origine, ni de naissance, ni d’éducation » mais « d’adoption », il a su convaincre l'appareil du parti Les Républicains. Le communiqué de la commission d'investiture, publié le 18 novembre, officialise ce soutien, bien qu'une nuance soit apportée : il ne sera « formellement investi que quand il lancera officiellement sa campagne ».
Cette précaution vise à éviter que ses interventions médiatiques en tant que chroniqueur pour LCI, RMC ou encore Valeurs actuelles ne soient décomptées de son temps de parole électoral. Cette démarche stratégique permet au parti de capitaliser sur la notoriété du nom Sarkozy tout en se conformant aux règles de l'audiovisuel.
Pour Louis Sarkozy, ce soutien est crucial car il lui apporte la légitimité et la structure d'un grand parti politique, indispensable pour mener une campagne d'envergure. Connu pour ses positions conservatrices et son admiration pour des figures comme Donald Trump ou Javier Milei, sa candidature s'inscrit dans une tentative de renouvellement des visages à droite, tout en s'appuyant sur un héritage politique puissant.












