'", s'est-il inquiété.

Il a souligné que les intelligences artificielles n'ont pas "des intérêts totalement neutres", pointant le danger d'algorithmes biaisés pouvant influencer le vote. Le président considère que l'IA représente "une véritable révolution" pour le fonctionnement des démocraties, appelant à une "prise de conscience" et à "l'action".

Parallèlement à ces craintes, l'IA est déjà utilisée concrètement par les candidats.

Un article décrit comment elle peut servir à "créer une affiche, mettre en forme son programme ou même truquer une vidéo".

Cet usage ambivalent de l'IA, à la fois outil d'efficacité pour les équipes de campagne et menace potentielle pour l'intégrité du débat démocratique, pose un défi majeur. La question de la régulation de ces technologies dans le champ politique est ainsi posée, alors que la désinformation et les ingérences étrangères sont déjà des préoccupations majeures.