Dans un duel au second tour, l'homme d'affaires l'emporterait largement avec 61 % des voix contre 39 %.
Cette « déferlante » est attribuée à son image d'homme d'action et à sa capacité à fédérer une large coalition allant de la droite au centre, mettant fin à trois décennies de divisions. Sa campagne s'articule autour d'un « plan pour délivrer Lyon » de ce qu'il nomme le « dogme de la décroissance » de l'administration écologiste, critiquant les politiques sur la place de la voiture, l'urbanisme et la sécurité. Il promet de « stopper » certains projets avant même son élection et envisage de se présenter également à la vice-présidence de la Métropole.
Le camp écologiste, quant à lui, semble en proie au « grand doute », confronté à un « effondrement spectaculaire » dû à un bilan jugé négativement (travaux interminables, congestion urbaine) et à un rejet personnel du maire.
La candidate LFI, Anaïs Belouassa-Cherifi, ne recueillerait que 9 %, confirmant que la course se dessine comme un duel entre Aulas et Doucet.











