Le maire sortant, Benoît Payan (DVG), appelle à « l'unité » et prône une approche globale alliant sécurité (plus de caméras, renforcement de la police municipale) et politiques sociales (écoles, centres sociaux). Le candidat du RN, Franck Allisio, accuse M. Payan d'avoir fait de Marseille la « capitale de la drogue » et promet la « première police municipale de France ». La candidate de droite, Martine Vassal, appelle également à un « choc d'autorité » tout en reconnaissant la nécessité de politiques sociales. L'affaire a également soulevé des craintes de corruption et d'intimidation des élus pendant la campagne, le procureur redoutant que les candidats puissent « subir les mêmes assauts » de la part des narcotrafiquants que d'autres fonctionnaires.
Marseille : le narcotrafic s'impose comme un enjeu majeur de la campagne municipale
L'assassinat de Mehdi Kessaci, frère d'un militant anti-drogue, a projeté la question du narcotrafic au cœur de la campagne des élections municipales de 2026 à Marseille. Cette tragédie contraint les candidats à se positionner sur un fléau qui a transformé certains quartiers de la ville en zones de guerre, faisant de la sécurité le thème central du scrutin. Les articles décrivent comment ce meurtre a constitué un « point de bascule » dans la campagne. Jusqu'à présent, les débats se concentraient sur la sécurité du quotidien, la propreté ou l'immigration, mais la violence extrême du narcobanditisme est désormais incontournable.



Articles
5
Le futur porte-avions de la France sera deux fois plus grand que l'actuel Charles de Gaulle. Voici à quoi va ressembler le futur bâtiment maritime prévu pour 2038.

Un conseil des ministres a été réuni, ce lundi 22 décembre, soir par Emmanuel Macron pour présenter ce texte provisoire destiné à permettre à l’État de faire face dans les prochains jours à ses dépenses courantes

Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.

En l’absence de vote des parlementaires pour doter l’Etat d’un budget en 2026, une loi spéciale a été adoptée en Conseil des ministres. Elle prévoit la reconduction provisoire du budget 2025 et sera examinée mardi au Parlement avant la reprise des discussions budgétaires en janvier.




