Cette déclaration lance une campagne qui s'annonce comme un affrontement majeur avec son ancien allié et désormais principal rival, Éric Ciotti.
Christian Estrosi (Horizons) a officialisé sa candidature le samedi 22 novembre, marquant le début de sa campagne par l'organisation d'un grand meeting.
Cette démarche vise à consolider sa base et à défendre son bilan à la tête de la cinquième ville de France. Face à lui, Éric Ciotti, président de l'Union des droites pour la République (UDR) et député des Alpes-Maritimes, s'est positionné comme le principal challenger.
La rivalité entre les deux hommes, autrefois proches, domine déjà l'espace politique niçois.
Le camp Ciotti a récemment marqué des points en ralliant des personnalités comme l'ancienne préfète Françoise Souliman, signalant sa capacité à construire une alternative crédible.
La campagne s'articule donc autour de ce duel à couteaux tirés entre deux figures de la droite nationale, dont l'issue déterminera non seulement l'avenir de Nice, mais aura également des répercussions sur les équilibres politiques au sein de la droite française.











