L'alliance prévoit des listes strictement paritaires dans les 14 circonscriptions et repose sur une condition ferme posée par l'homme d'affaires : le refus de toute alliance "ni au premier tour, ni au deuxième tour" avec les extrêmes. Donné favori dans les sondages, M. Aulas a également adopté une tactique d'attente face au maire sortant, Grégory Doucet, qui l'a invité à débattre.

En réponse, le candidat a exigé le lancement d'un "audit indépendant, financier, social et environnemental sur l'ensemble du mandat", conditionnant ainsi sa participation et retardant l'échéance à fin février.

Parallèlement, il a commencé à dévoiler ses premières propositions, notamment sur la protection des femmes.

Sa démarche est soutenue par un large éventail de partis, incluant LR, Renaissance, le MoDem et Horizons.