Ce refus a été qualifié de "diversion" par le camp écologiste.

Bruno Bernard a ironisé : "J’ai surtout compris qu’il ne voulait pas débattre ! Parce qu’il n’avait pas les données. [...] Je ne comprends pas, il faut qu’on lui fasse des fiches pour qu’il puisse débattre ?"

Cette passe d'armes illustre la polarisation de la campagne lyonnaise, où le bilan des écologistes sera l'enjeu principal face à une opposition unie derrière une figure emblématique du monde économique local.