Cette alliance se concrétise également à l'échelle métropolitaine avec un accord avec Véronique Sarselli (LR).
Son positionnement vise à incarner une alternative crédible face au maire écologiste Grégory Doucet, en mettant l'accent sur une gestion pragmatique et des projets concrets.
Sa campagne a déjà été marquée par des annonces symboliques, comme sa promesse de refuser son salaire de maire s'il est élu, un choix qualifié de "polémique". Il a également dévoilé des propositions pour la végétalisation de la place Bellecour. L'engagement de personnalités de la société civile, telle que Valérie Lorentz-Poinsot, ancienne dirigeante de Boiron, en tant que codirectrice de campagne, renforce cette image d'ouverture. Cependant, sa candidature suscite déjà des tensions, comme en témoigne la saisine de la commission des comptes de campagne par le candidat UDR-RN, Alexandre Dupalais, suite à la mise en avant de Jean-Michel Aulas lors d'un match de l'OL. L'affrontement avec la majorité sortante est également engagé, notamment sur le refus d'Aulas de débattre avant la publication d'un audit des comptes, ce que le président de la Métropole Bruno Bernard a qualifié de manœuvre pour éviter la confrontation.











