Sa stratégie de désendettement repose sur deux leviers principaux.

Le premier est une réduction des dépenses liées au logement social, en limitant "drastiquement" la préemption d'immeubles par la Ville. Elle estime que cette mesure permettrait de dégager "100 millions d'euros par an pour un grand plan de rénovation du parc social" existant, tout en affirmant ne pas vouloir aller au-delà de l'objectif de 25% de logements sociaux fixé par la loi SRU. Le second levier consiste à réduire le "train de vie de l'Hôtel de ville", où travaillent 53 000 agents. La candidate LR envisage de dégager "65 millions d'euros d'économies" en diminuant "des postes de bureaux pour mettre plus de monde sur le terrain, pour la propreté, les crèches, la sécurité".

Elle prévoit également de couper les subventions aux associations "dont l'utilité est trop éloignée des Parisiens, dont celles à l'international". Les économies ainsi réalisées seraient allouées en partie au désendettement et au renforcement des politiques de sécurité et de propreté, des thèmes centraux de sa campagne.