Sa campagne est déjà marquée par des annonces fortes et des controverses, notamment une plainte déposée contre lui par le candidat de l'extrême droite. Jean-Michel Aulas a fait une entrée remarquée en promettant de refuser son salaire de maire s'il est élu, un choix qualifié de « polémique » par certains observateurs. Sur le fond, il a annoncé vouloir lancer des études dès 2026 pour un nouveau métro TCL, plaçant les transports au cœur de son projet. Cependant, sa participation au « match des légendes » pour les 75 ans de l'OL a déclenché une controverse. Le candidat de l'alliance UDR-RN, Alexandre Dupalais, a saisi la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), dénonçant un « mélange des genres » et des « violations successives du code électoral ».
Il estime que la mise en avant de Jean-Michel Aulas lors de cet événement constitue un avantage illégal en période pré-électorale. Cette plainte illustre la tension qui entoure la candidature de l'homme d'affaires, dont l'influence et la notoriété sont perçues à la fois comme un atout majeur et une source de conflits potentiels.











