En se déclarant candidat, Bruno Bernard met en avant son bilan et affiche sa volonté de poursuivre les politiques engagées depuis 2020. Il se positionne clairement en opposition à l'alliance de droite qui se dessine face à lui.

Les articles mentionnent spécifiquement ses attaques contre le tandem formé par Véronique Sarselli, cheffe de file des Républicains pour les élections métropolitaines, et l'homme d'affaires Jean-Michel Aulas, candidat à la mairie de Lyon. Cette candidature précoce de l'actuel président écologiste vise à occuper le terrain et à défendre les transformations menées durant son mandat, notamment en matière de mobilités et d'environnement. La bataille pour la Métropole de Lyon s'annonce ainsi comme l'un des scrutins les plus observés de 2026, opposant une majorité écologiste sortante à une coalition de droite et du centre unie derrière des figures locales de premier plan. L'enjeu pour Bruno Bernard sera de convaincre les électeurs de la pertinence de son projet face à une opposition qui critique vivement sa gestion, notamment sur les questions de mobilité et de développement économique. La campagne promet d'être intense, avec des visions très différentes pour l'avenir de la deuxième plus grande agglomération de France.