Cette alliance, qui inclut le PS, vise à rassembler un large front progressiste.
De l'autre côté, La France Insoumise a choisi de présenter son propre binôme, composé de Silvano Marian et Nelly Paulon, qui ont lancé leur campagne depuis le quartier du 14-Juillet.
Cette division met fin à l'idée d'une primaire à gauche, à laquelle Place publique et EELV ont finalement renoncé.
Jean-François Maison, qui était l'un des partisans de cette primaire, a également retiré sa candidature. La situation à Pau est donc symptomatique des difficultés de la gauche à s'unir au niveau local, même face à un maire sortant, François Bayrou.
Les divergences stratégiques et idéologiques entre le bloc social-démocrate et écologiste et le pôle incarné par La France Insoumise conduisent à une multiplication des candidatures, ce qui pourrait affaiblir leurs chances respectives de succès au premier et au second tour.
La campagne s'engage donc avec une gauche divisée, chaque camp espérant incarner la principale alternative à la majorité actuelle.











