Cette alliance s'inscrit dans un paysage politique lyonnais fragmenté à gauche.

Nathalie Perrin-Gilbert, figure de la gauche lyonnaise, a également engagé des discussions avec l'ancien maire Georges Képénékian, suggérant une volonté de rassembler au-delà de son périmètre initial. Ce ralliement intervient alors que plusieurs candidatures majeures ont déjà été déclarées, notamment celle de l'écologiste Grégory Doucet pour un second mandat, et celle de l'homme d'affaires Jean-Michel Aulas, soutenu par la droite et le centre. L'union du PRG et de Nathalie Perrin-Gilbert cherche à créer un pôle distinct, capable d'attirer des électeurs déçus par la gestion actuelle tout en offrant une alternative aux autres listes de gauche.