Elle l'accuse d'avoir « brutalisé » les maires de la métropole et de mener une politique « désincarnée, hors sol ». La bataille pour le Grand Lyon, collectivité aux compétences étendues et au budget de près de 4 milliards d'euros, s'articulera donc autour de la vision écologique et sociale du président sortant face à un projet de droite axé sur l'attractivité et une gouvernance différente.