Cet événement a contraint les candidats à se positionner fermement.
Le RN réclame un état d'urgence, Martine Vassal (droite et centre) a suspendu temporairement sa campagne, et le maire sortant Benoît Payan est contraint de défendre son bilan sécuritaire. La situation ravive les craintes d'une « narcocratie » et de tentatives d'emprise mafieuse sur le pouvoir local, rappelant les liaisons troubles du passé.
Au-delà de Marseille, des villes comme Grenoble et Rennes sont également touchées.
À Grenoble, le maire écologiste Éric Piolle est critiqué par son opposition LR pour son « inaction ».
La question de la proximité, voire de la compromission, de certains élus avec les trafiquants pour pouvoir faire campagne dans certains quartiers est également soulevée, bien que de manière anonyme. Dans ce contexte, la nomination d'un nouveau préfet à Marseille, Jacques Witkowski, promettant la « férocité républicaine » face à « tous ceux qui troublent la paix publique », souligne la gravité de la situation.











