Les articles rapportent que le PS accuse les mélenchonistes de vouloir "ravir les grandes villes qu’ils dirigent", tandis que LFI rétorque que "la gauche ne leur appartient pas".
Cette bataille n'est pas seulement locale mais s'inscrit dans une "guerre du leadership en vue de 2027". Marseille est un exemple emblématique de cette confrontation, où les Insoumis, portés par le député Sébastien Delogu, entrent en campagne "sur un air de dégagisme", mettant directement en difficulté la majorité sortante du maire socialiste Benoît Payan.
Cette situation place Les Écologistes dans une position délicate.
Pris au milieu de cette "guerre des gauches", ils tentent de porter un discours unitaire alors que leurs propres actions sont la cible de la droite et de l'extrême droite. La fragmentation de la gauche pourrait avoir des conséquences électorales importantes, notamment à Marseille où "la vague RN se fait déjà sentir" au loin. La compétition acharnée entre le PS et LFI pour l'hégémonie à gauche risque de diviser l'électorat et de favoriser leurs adversaires politiques lors des scrutins de 2026.











