Cependant, cette solution n'est pas sans conséquences.
Comme l'a rappelé la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin, un tel régime a un coût élevé, citant l'exemple des six semaines sous ce régime en début d'année qui ont coûté 12 milliards d'euros.
Cette situation inquiète les élus locaux.
Antoine Homé, trésorier général de l'Association des maires de France (AMF), exprime l'inquiétude des maires face à la situation, qualifiant la loi spéciale de "rustine qui ne fait que repousser dans le temps les échéances".
Cette incertitude compliquerait non seulement l'organisation matérielle du vote, mais ajouterait également une couche d'instabilité politique à un contexte local déjà tendu, à quelques mois seulement de l'échéance électorale.











