Ce changement de cap illustre les tensions internes au sein de l'équipe sortante à l'approche des élections.

Initialement, la majorité municipale avait porté son choix sur Marc Chassaubéné, un choix "fortement appuyé par l'ancien maire".

Cependant, cette décision a provoqué de vives réactions internes, créant "tant de vagues qu'il lui a fallu reculer".

Face à cette opposition, Marc Chassaubéné a renoncé à briguer la mairie.

En conséquence, la majorité s'est réorientée vers Jean-Pierre Berger, actuel premier adjoint, qui a désormais de "fortes chances de l'emporter". Selon les articles, ce revirement s'accompagne d'un réaménagement des rôles envisagés pour l'avenir : Marc Chassaubéné, qui était pressenti pour être maire, devrait finalement occuper le poste de premier adjoint si la liste est élue. Cette séquence révèle les difficultés de la majorité stéphanoise à tourner la page de l'ère Perdriau et à trouver une figure consensuelle pour mener la prochaine campagne municipale, mettant en lumière les luttes d'influence qui animent la préparation du scrutin de 2026 dans cette grande ville.