Le conseil municipal a désigné son fidèle premier adjoint pour lui succéder jusqu'en mars 2026.

Cette décision, présentée par la majorité comme une volonté d'"avancer dans la continuité", est perçue par une partie des habitants et de l'opposition comme une "démocratie pervertie".

Le choix d'un proche de l'ancien maire, lui-même mis en cause dans l'affaire du chantage à la vidéo intime avant de bénéficier d'un non-lieu, est critiqué pour son manque de rupture avec un système politique discrédité. L'affaire a profondément fracturé la ville et l'élection de Jean-Pierre Berger est vue par ses détracteurs comme une manière de préserver l'influence du clan Perdriau. Ce contexte tendu préfigure une campagne municipale de 2026 où les thèmes de l'éthique, du renouvellement politique et de la fracture avec l'ancienne majorité seront centraux.