La bataille pour Paris : la droite et le centre se positionnent
La course à la mairie de Paris pour les élections de mars 2026 est lancée, avec plusieurs candidatures notables à droite et au centre qui se structurent pour affronter la majorité de gauche sortante. Les stratégies de campagne, déjà bien visibles, se concentrent sur des thèmes forts comme la sécurité et l'identité, tout en cherchant à marquer leur différence dans un paysage politique fragmenté. Parmi les figures de proue, Rachida Dati, candidate Les Républicains, mène une campagne offensive. Elle a notamment suscité la polémique en défendant "une préférence nationale pour nos artistes français et les artistes de la création contemporaine qui vivent en France", une déclaration qualifiée de "faute politique" par le sénateur socialiste Patrick Kanner. Sa stratégie de communication mise également sur des vidéos percutantes sur les réseaux sociaux, la montrant sur le terrain, une méthode jugée démagogique par ses rivaux. De son côté, Pierre-Yves Bournazel, soutenu par Horizons et Renaissance, axe sa campagne sur la sécurité. Il propose un plan ambitieux incluant le triplement des effectifs de la police municipale pour les porter à 6 000 agents, leur armement, et le déploiement de technologies comme les drones et la vidéosurveillance algorithmique. Enfin, le Rassemblement National entre en scène avec la candidature de l'eurodéputé Thierry Mariani, qui, en alliance avec l'UDR d'Éric Ciotti, a pour objectif historique de faire entrer son parti au Conseil de Paris, désignant la gauche comme son principal "ennemi". Ces différentes candidatures témoignent d'une droite et d'un centre parisiens en ordre de bataille mais dispersés, chacun cherchant à imposer ses thèmes et son style.



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