Cédric Van Styvendael a officialisé sa candidature à sa propre succession, à la tête d'une liste de "gauche rassemblée" comprenant le PS, les Écologistes et le PCF. Il met en avant le bilan d'un mandat de "rattrapage" et propose un projet axé sur la sécurité, la propreté, le climat et le pouvoir d'achat. Cependant, sa campagne est marquée par la candidature dissidente de Jean-Paul Bret, maire de 2001 à 2020, qui a été suspendu par le Parti Socialiste pour cette décision. Cédric Van Styvendael qualifie cette candidature de "candidature du passé et du ressentiment" et affirme ne pas vouloir "passer [sa] campagne à parler de Jean-Paul Bret".
La rupture est consommée, les deux hommes ne s'adressant plus la parole. Cette situation est aggravée par la décision de La France Insoumise, qui faisait partie de la majorité sortante, de présenter sa propre liste menée par l'adjoint Mathieu Garabédian.
Cédric Van Styvendael acte cette rupture, déclarant que "la confiance est rompue" et qu'il n'y aura pas d'alliance automatique entre les deux tours.











