Son avocat a qualifié la condamnation de « déflagration ».

Le parti Les Écologistes a réagi promptement en déclarant que M. Hammou n'avait « plus sa place » au sein du mouvement. Il avait déjà été suspendu à titre conservatoire en octobre et faisait l'objet d'une procédure disciplinaire, le parti lui reprochant de ne pas avoir signalé sa fréquentation du site Coco, « notoirement connu pour être un repaire de prédateurs sexuels ».