La décision sur la tête de liste a été tranchée après que des sondages distincts, commandés par les deux principaux prétendants, ont donné l'avantage à Thomas Cazenave.

Nathalie Delattre a justifié son choix par "la conviction que seule une dynamique collective, claire et rassemblée peut offrir à Bordeaux une alternance crédible, solide et durable".

Ce "grand rassemblement" inclut désormais Renaissance, Horizons, le Modem, le Parti radical et une partie des Républicains.

Plusieurs figures locales, comme les anciens adjoints d'Alain Juppé, Pierre de Gaétan Njikam et Alexandra Siarri, ont également rejoint la dynamique. L'objectif affiché par Thomas Cazenave est de "refermer la parenthèse écologiste" en proposant un projet axé sur la redynamisation économique et la sécurité.

L'opposition reste cependant fragmentée, l'économiste Philippe Dessertine maintenant sa candidature indépendante.