Sa décision, "mûrement réfléchie", s'inscrit dans la continuité de l'action menée par le maire sortant, Pierre Savelli, tout en ayant "vocation à se renouveler et à s'élargir". Avant de potentiellement passer le relais à la tête de la Corse, Gilles Simeoni a souligné sa volonté de mener à bien des chantiers prioritaires, notamment le projet d'autonomie pour l'île, son "combat de vie", qui doit être examiné par le Congrès en 2026. La question de sa succession à la présidence du conseil exécutif est désormais ouverte et fera l'objet de discussions avec l'Assemblée de Corse.