Elle a justifié sa décision par la conviction que "seule une dynamique collective, claire et rassemblée peut offrir à Bordeaux une alternance".

Ce "grand rassemblement" inclut désormais Renaissance, Horizons, le MoDem, le Parti radical et une partie des Républicains.

Plusieurs figures locales, comme les anciens adjoints d'Alain Juppé, Pierre de Gaétan Njikam et Alexandra Siarri, ont également rejoint la démarche. Thomas Cazenave s'est félicité de cette "dynamique d'union solide (...) et très large", affirmant être désormais "en position de battre Pierre Hurmic".

Cependant, l'union n'est pas totale, l'économiste Philippe Dessertine maintenant sa propre candidature au centre-droit.

Le programme commun de la liste d'union devrait être présenté en janvier, marquant une nouvelle phase dans une campagne qui s'annonce très disputée.