Ces nouveautés, bien que discrètes, témoignent d'un effort continu de Google pour raffiner son système d'exploitation. Parmi les changements les plus notables figure l'introduction d'un curseur de réglage pour l'intensité de la lampe torche, une fonctionnalité que les utilisateurs d'iPhone connaissent depuis 2016 avec iOS 10. Cette mise à niveau, attendue de longue date, permet un contrôle plus fin de la luminosité.
La navigation par boutons, bien que délaissée par beaucoup au profit des gestes, bénéficie également d'améliorations.
En parallèle, Google s'attaque aux performances graphiques du Pixel 10, critiquées depuis sa sortie, en déployant enfin un pilote graphique mis à jour via cette bêta, comblant ainsi son retard face à des concurrents comme Qualcomm.
Le mode Bureau, qui préfigure un potentiel futur système d'exploitation pour PC basé sur Android, continue de s'enrichir. Sur le plan de la confidentialité, Android 16 intègrera des outils pour mieux identifier les applications qui suivent les déplacements de l'utilisateur. Ces multiples ajustements, allant de la correction de bugs de batterie observés dans la version QPR2 à l'optimisation des performances et à l'ajout de fonctionnalités de confort, montrent que Google se concentre sur la stabilisation et l'enrichissement de son écosystème avant le déploiement de nouveautés plus disruptives.












