Cette nouvelle génération mise sur une puissance accrue, notamment pour les tâches liées à l'intelligence artificielle et aux performances graphiques, pour se présenter comme une alternative viable à un ordinateur portable.
La puce M5 est au cœur de cette évolution, poursuivant la stratégie d'Apple d'unifier l'architecture de ses appareils.
L'iPad Pro M5 ne se contente plus d'être une simple "ardoise tactile" ; il flirte ouvertement avec le territoire du MacBook, offrant une puissance de calcul qui le rend apte à des usages professionnels exigeants.
Les tests soulignent que cette tablette est plus qu'un simple appareil de consommation de contenu, elle est conçue pour la création, la productivité et les applications gourmandes en ressources. La polyvalence de l'appareil est mise en avant, capable de passer d'un outil de divertissement à une station de travail mobile. Cependant, malgré cette puissance brute, la question de la substitution totale d'un MacBook reste posée. L'écosystème logiciel, bien que très riche, n'offre pas encore la même flexibilité qu'un système d'exploitation de bureau complet comme macOS.
L'iPad Pro M5 est donc présenté comme un appareil prêt pour le futur, avec des capacités en IA qui seront probablement exploitées par de futures mises à jour logicielles et applications. Pour les utilisateurs, le choix entre un iPad Pro M5 et un MacBook dépendra de plus en plus de leurs flux de travail spécifiques et de leur préférence pour une interface tactile ou un environnement de bureau traditionnel. Avec ce lancement, Apple solidifie sa domination sur le marché des tablettes tout en posant un défi direct à la conception traditionnelle de l'ordinateur personnel.











