Ce changement stratégique s'inscrit dans un contexte plus large d'ouverture progressive de l'écosystème Apple, en partie sous la pression des régulateurs, comme ce fut le cas pour l'App Store avec le Digital Markets Act (DMA) en Europe. La possibilité de choisir son assistant vocal par défaut répondrait à une demande croissante des utilisateurs souhaitant plus de flexibilité et d'accès aux innovations des concurrents dans le domaine de l'intelligence artificielle, où Siri est souvent perçu comme étant en retard.

Cependant, cette liberté pourrait être assortie d'une condition importante : un des articles suggère que la fonctionnalité pourrait, dans un premier temps, être limitée à certaines régions géographiques, citant le Japon comme exemple.

Cette approche progressive permettrait à Apple de tester la fonctionnalité et de s'adapter aux cadres réglementaires locaux avant un déploiement plus large. Néanmoins, cette initiative représente un pas significatif vers un iOS plus personnalisable et moins centré sur les services exclusifs d'Apple.