Les premiers tests révèlent des performances solides, notamment dans des conditions de réseau difficiles, malgré des spécifications techniques a priori modestes. En développant sa propre puce N1, Apple met fin à sa dépendance historique envers des fournisseurs tiers comme Broadcom pour les composants de connectivité sans fil.

Cette puce, présente dans les modèles iPhone 17 et iPhone Air, a été analysée par Ookla, une société spécialisée dans la mesure des performances réseau.

Leurs tests confirment une "nette amélioration de la vitesse du Wifi" par rapport aux générations précédentes.

Plus surprenant encore, bien que ses caractéristiques techniques soient considérées comme plus modestes que celles des puces haut de gamme de Qualcomm ou MediaTek, la puce N1 se montre "étonnamment solide", en particulier dans les zones où le signal est faible. Cette performance démontre la force de l'intégration matérielle et logicielle d'Apple, qui parvient à optimiser le rendement de ses composants. Cette stratégie, similaire à celle adoptée pour les processeurs avec la transition vers Apple Silicon, confère à l'entreprise un contrôle accru sur les performances, la consommation d'énergie et les coûts de ses appareils, renforçant ainsi la cohérence de son écosystème.