Cette déclaration, largement commentée, vise à leur inculquer la valeur du travail.

Face à Isabelle Ithurburu, l'artiste de 74 ans a expliqué sa philosophie en matière d'héritage, une position qu'il maintient depuis plusieurs années.

"Vous savez, je ne sais pas si j’ai raison ou si j’exagère, mais je ne veux pas que mes enfants s’attendent un jour à recevoir des millions de dollars", a-t-il déclaré. Selon lui, une telle attente ne leur "rendrait pas service".

Il estime qu'il est problématique pour des enfants d'avoir "trop d’attentes, trop d’argent et de privilèges" et qu'un équilibre doit être trouvé. L'objectif de Sting n'est pas de priver ses enfants, mais de les encourager à être autonomes et à travailler dur. Il a souligné que, bien qu'ils n'aient jamais manqué de rien, il a tenu à ce qu'ils reçoivent une "bonne éducation" et développent leur propre volonté de travailler.

"Ils l’ont tous compris. Ils travaillent dur.

Et ils sont grands maintenant, ce sont des adultes", a-t-il conclu avec fierté. Avec humour, il a ajouté que lui et sa femme dépensaient tout et qu'il "ne restera rien".

Cette approche, bien que pouvant paraître stricte, serait totalement comprise par ses enfants, qui seraient "très fiers" de lui et n'attendraient pas son décès pour hériter. Cette prise de position publique relance le débat sur la transmission de patrimoine chez les grandes fortunes et l'importance de l'éthique du travail.