Cet incident met en lumière la vitesse de propagation des "fake news" et la vulnérabilité des personnalités publiques face à ce phénomène.
L'affaire a débuté le 22 octobre lorsque l'influenceur Aqababe a annoncé la mort de l'actrice de 91 ans sur ses réseaux, affirmant même qu'un cercueil avait été commandé. La nouvelle s'est propagée de manière virale, conduisant à une modification temporaire de la page Wikipédia de la star et à une vague d'hommages prématurés. La crédibilité de la rumeur a pu être renforcée par la récente hospitalisation de Brigitte Bardot pour une "légère intervention chirurgicale".
Face à l'ampleur de la situation, l'actrice a personnellement réagi sur son compte X (anciennement Twitter) officiel : "Je ne sais pas quel est l’imbécile qui a lancé ce soir cette fake news sur ma disparition mais sachez que je vais bien et que je n’ai pas l’intention de tirer ma révérence.
À bon entendeur".
Suite à ce démenti, Aqababe a supprimé sa publication initiale tout en persistant, suggérant que le compte de l'actrice n'était pas géré par elle.
Cet événement s'inscrit dans une série de controverses pour l'influenceur, déjà connu pour avoir diffusé de fausses informations par le passé. L'incident a provoqué la colère des proches de Brigitte Bardot, dont le journaliste Henry-Jean Servat, et illustre de manière frappante le phénomène récurrent des canulars macabres visant les célébrités vieillissantes.







