Dans la séquence, diffusée sur les réseaux sociaux, M. Itsaragrisil reproche à Fátima Bosch de ne pas avoir suffisamment promu la Thaïlande comme pays hôte sur ses plateformes, comme cela aurait été convenu avec son directeur national. Le ton est rapidement monté, et l'organisateur a qualifié la jeune femme de "débile" avant de demander à la sécurité de l'escorter hors de la salle.

Face à cette scène, plusieurs autres candidates ont manifesté leur solidarité en quittant également la réunion.

L'organisateur les a alors invitées à revenir, "sauf le Mexique" car, selon lui, "elle parle trop".

Visiblement sous le choc, Fátima Bosch a pris la parole en larmes pour se défendre : "J'aime profondément la Thaïlande, je vous respecte tous [...] mais ce que votre directeur vient de faire n’est pas respectueux.

Il m’a traitée de débile parce qu’il a des problèmes avec l’organisation.

Ce n'est pas juste".

Sa prise de parole a été applaudie par les personnes restantes.

En réponse à l'indignation générale, la page Facebook officielle de Miss Universe Organization (MUO) a publié un communiqué réaffirmant son engagement pour le succès de l'événement, une tentative de maîtriser une situation qui a déjà terni l'image du concours.