Elle y décrit une relation toxique où son consentement n'aurait pas été respecté.

Le 3 novembre, Hoshi a partagé un long texte où elle déclare : "J’ai hurlé en silence pendant des mois, cela fait trop longtemps que je me tais".

Elle explique avoir été "salie, abusée" et ne plus pouvoir "laisser cette situation perdurer".

La chanteuse allègue des faits graves, affirmant s'être retrouvée dans des situations où son "consentement n’existait plus", impliquant son ex-compagne ainsi que la nouvelle partenaire de cette dernière.

"J’ai dit non. J’ai répété que je ne le voulais pas et j’ai dit que je le vivais mal.

Mais mes refus n’ont pas été écoutés, ni respectés", écrit-elle.

Elle décrit un engrenage où elle n'avait plus le contrôle de sa vie, de ses choix et de ses repères, concluant par une phrase forte : "Parce que certaines danses laissent des cicatrices qu’aucune musique ne pourra jamais effacer". En réponse, Gia Martinelli a pris la parole dans *Le Parisien*, réfutant toutes les accusations et qualifiant la démarche de son ex-compagne d'"indigne de notre histoire d'amour".

Elle affirme que c'est Hoshi qui aurait introduit une tierce personne dans leur vie et que, suite à leur rupture, la chanteuse aurait promis des "répercussions". La justice est désormais saisie de l'affaire, qui fait l'objet d'une enquête.