"C'est exactement ce que vous pensez… Ne vous droguez pas, les enfants", a-t-elle déclaré en expliquant avoir un trou dans le cartilage séparant ses deux narines. Elle a décrit la blessure avec une franchise désarmante, affirmant que "l'écart est si grand que je pourrais y faire passer un spaghetti d'un côté à l'autre".
Cette perforation serait apparue lorsqu'elle avait environ 20 ans. Aujourd'hui sobre depuis cinq ans, comme elle l'avait annoncé en janvier dernier, elle doit vivre avec cette séquelle.
Elle a également confié refuser une intervention chirurgicale pour réparer sa cloison nasale, par crainte de devoir prendre des analgésiques, un risque qu'elle ne souhaite plus courir après son combat contre la dépendance. Cette prise de parole s'inscrit dans une démarche de transparence de la part de la jeune femme, qui a souvent évoqué ses luttes passées. En exposant ses blessures physiques sans filtre, elle transforme son expérience personnelle en un puissant message de prévention, utilisant sa plateforme pour sensibiliser son public aux ravages de la drogue.











