On y voit Miss Provence, Julie Zitouni, et Miss Aquitaine, Aïnhoa Lahitete, tenir des propos injurieux envers les demi-finalistes, entraînant leur destitution.

Le scandale a éclaté lorsqu'une vidéo, filmée en coulisses après l'annonce du Top 12 et publiée par l'influenceur Aqababe, est devenue virale.

Frustrée de ne pas avoir été sélectionnée, Miss Aquitaine s'y interroge : "Qu’est-ce que c’est que ce top 12 ?

".

Miss Provence renchérit alors en qualifiant les demi-finalistes de "grosses putes".

La diffusion de ces images a provoqué une indignation immédiate sur la toile.

Face au tollé, les deux jeunes femmes ont présenté leurs excuses sur leurs comptes Instagram respectifs.

Julie Zitouni a tenté de justifier ses propos en expliquant avoir utilisé le mot "pute" dans un "sens familier" signifiant "les veinardes, les chanceuses", tout en reconnaissant que ce vocabulaire n'avait pas sa place dans le concours.

Ces excuses n'ont cependant pas suffi à calmer la controverse.

Le 9 décembre, les comités régionaux Miss Provence Côte d'Azur et Miss Aquitaine, avec le soutien de la société Miss France, ont annoncé la destitution des deux Miss.

Dans un communiqué, ils ont jugé que "ces propos injurieux et cette attitude sont en totale contradiction avec les valeurs" du concours.

Cette décision, qualifiée de "lourde de conséquences mais nécessaire", illustre la tolérance zéro de l'organisation face à de tels dérapages et l'impact dévastateur que peuvent avoir les réseaux sociaux sur l'image des candidates.