Si le charme des personnages opère toujours, la critique est divisée quant à l'originalité de cette nouvelle salve d'épisodes. Inspirée du documentaire *The Mole Agent*, la série continue de suivre Charles Nieuwendyk (Ted Danson) dans une nouvelle enquête sous couverture, cette fois pour élucider une affaire de chantage visant le président d'une université. La réception critique de cette saison 2 est pour le moins contrastée.

D'un côté, des médias comme *Télérama* et *Télé-Loisirs* saluent une suite "aussi attachante que farfelue", soulignant que la série "émeut autant qu’elle fait rire".

La performance de Ted Danson et son alchimie avec Mary Steenburgen sont unanimement considérées comme des points forts. *Le Monde* abonde dans ce sens, décrivant la saison comme "aussi pépère et attachant que la première".

D'un autre côté, une partie de la presse se montre beaucoup plus sévère. *The Guardian* qualifie la série de "comédie insidieusement inoffensive, [...] sans inspiration et d’un ennui mortel". D'autres critiques, comme celle de *Decider*, nuancent leur jugement en remettant en question la pertinence de l'intégration des personnages de la maison de retraite de la première saison. Le consensus semble indiquer que cette suite plaira aux amateurs de la fantaisie douce de la première saison, mais laissera sur leur faim ceux qui attendaient une prise de risque narrative.