S'ensuivent des pertes de mémoire et des événements étranges qui la placent au centre d'une enquête menée par des personnages incarnés par Vincent Elbaz et Kad Merad. La série s'inscrit dans une longue lignée d'adaptations, de la version culte de 1965 avec Juliette Gréco au film de 2001 avec Sophie Marceau, mais cherche à moderniser le mythe. La critique salue unanimement l'élégance de la mise en scène, qui transforme le Louvre, filmé de nuit, en un personnage à part entière, à la fois menaçant et mystérieux. L'esthétique, décrite comme "sombre et feutrée", et la photographie en clair-obscur installent une tension continue.

Cependant, plusieurs analyses pointent un récit qui, malgré des prémices prometteuses, peine à transcender son matériau d'origine.

Le scénario est jugé "relativement convenu", s'orientant vers un thriller psychologique plus rationnel qu'ésotérique et n'exploitant pas pleinement le potentiel fantastique du mythe.

Tiphaine Daviot, qui joue un rôle secondaire, souligne que la série parle "d'espoir, de renouveau et de renaissance", apportant une touche de lumière à une atmosphère autrement lourde.