Le sénateur Olivier Rietmann a justifié cette hausse en déclarant qu'il était « temps de passer de la parole aux actes pour défendre nos entreprises et nos commerces contre cette concurrence déloyale !

».

Le gouvernement, par la voix de la ministre Amélie de Montchalin, s'est opposé à cette modification.

Elle a averti qu'un montant supérieur à 2 euros « devient un droit de douane et ça peut être contesté comme un droit de douane », rappelant qu'un accord au niveau européen se dessinait pour une taxe de 2 euros.

La version du Sénat précise également que la taxe sera acquittée par les plateformes en ligne et non par les consommateurs.