Par conséquent, le cercle de réflexion préconise de recourir à des impôts à large assiette, touchant l'ensemble des citoyens, pour garantir un rendement significatif.
La formule mise en avant est que « tout le monde va devoir être mis à contribution ».
L'impact de ces mesures est estimé à un effort de « 3 à 4 000 euros par ménage et par an ».
Cette approche a immédiatement suscité des critiques quant à son caractère régressif.
Une augmentation de la TVA, impôt sur la consommation, pèserait proportionnellement plus lourdement sur les ménages modestes, qui consacrent une part plus importante de leurs revenus aux dépenses de première nécessité. Qualifiée de politiquement « explosive », la proposition risquerait également de freiner la demande intérieure et de peser sur une croissance économique déjà fragile. Le débat met en lumière la tension fondamentale entre la nécessité de restaurer les équilibres budgétaires et l'impératif de justice sociale dans la répartition de l'effort fiscal.












