Un article indique que "2026 devrait être un peu plus calme".
Cette modération est également favorisée par un contexte pré-électoral, les élections municipales de 2026 incitant de nombreuses communes à ne pas augmenter leurs taux.
Cependant, le répit pourrait être de courte durée.
Une réforme structurelle des valeurs locatives pour les locaux d'habitation est en préparation. La Cour des comptes a qualifié les références actuelles, datant de 1970, d'"obsolètes", créant une "iniquité entre les contribuables". Le nouveau système, basé sur les loyers de marché réels, sera mis en place progressivement : une collecte de données sur les loyers débutera en 2026, pour une application sur les impôts à partir de 2029. Les simulations initiales laissent entrevoir des revalorisations massives, avec des hausses moyennes de 185 % pour les maisons et 125 % pour les appartements, ce qui pourrait profondément redistribuer la charge fiscale entre les propriétaires.
Parallèlement, une autre révision technique, intégrant de nouveaux critères de "confort", a suscité une vive polémique politique, bien que le gouvernement ait laissé entendre qu'il pourrait reconsidérer cette mesure.












