Selon lui, "taxer ces actifs reviendrait à pénaliser une source de financement vitale pour l’économie nationale."

Les critiques, relayées par des figures politiques comme le député LR Philippe Juvin qui parle de "folie", craignent que cette taxe ne recrée un "impôt sur la fortune", ce qui pourrait dissuader l'épargne et l'investissement, voire encourager l'exil fiscal. L'appellation même d'"impôt sur la fortune improductive" est perçue comme péjorative, suggérant une vision négative de la détention de capital. Tout en reconnaissant la nécessité de trouver des recettes pour combler le déficit, les opposants appellent à la modération pour ne pas nuire à la confiance des épargnants et aux "intérêts de la France et des Français".