La décision a provoqué une levée de boucliers unanime sur l'échiquier politique.

Jordan Bardella (RN) et Mathilde Panot (LFI) ont tous deux dénoncé un "coup dans le dos des propriétaires français".

Même Gabriel Attal (Renaissance) a critiqué la méthodologie adoptée par l'administration.

Face au tollé, la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, a indiqué que l'exécutif "se réserve le droit d’interroger la pertinence de cette mesure" et qu'un "point d’étape" serait nécessaire "dans quelques mois". Cette hausse ponctuelle s'inscrit dans un contexte plus large de réforme des valeurs locatives, dont la mise en œuvre complète est prévue pour 2029, laissant présager de futures revalorisations potentiellement importantes.