Les chances de succès sont minces, la droite sénatoriale, menée par Bruno Retailleau, ayant posé comme ligne rouge le refus de toute hausse d'impôts. En cas d'échec, le gouvernement pourrait être contraint de recourir à une "loi spéciale" pour continuer à percevoir les impôts et assurer les dépenses courantes, reportant ainsi la crise budgétaire à janvier 2026.