Ils soutiennent que le pacte est un outil indispensable pour préserver un « capitalisme d'enracinement » et éviter la désindustrialisation.

Pour eux, le coût élevé du dispositif est la preuve de son succès, car il témoigne du grand nombre d'entreprises qui restent ainsi sous contrôle français. Ce débat met en lumière une fracture idéologique profonde sur la fiscalité du patrimoine, opposant une logique d'égalité fiscale à une vision de préservation du tissu productif national.