Le président français Emmanuel Macron a qualifié cette synchronisation de "véritable tournant", tandis que son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky a salué un "message fort".

La réaction de Moscou a été virulente, l'ancien président Dmitri Medvedev qualifiant ces décisions d'"acte de guerre contre la Russie". L'impact économique s'est fait sentir immédiatement, avec une chute de la bourse de Moscou et du rouble.

Cependant, certains pays européens, comme la Hongrie dirigée par Viktor Orbán, ont affiché leur défiance, le Premier ministre hongrois déclarant que son gouvernement cherchait des moyens de "contourner" les sanctions américaines pour préserver son approvisionnement énergétique. L'efficacité à long terme de ces mesures dépendra de la capacité de la Russie à trouver des circuits alternatifs et du degré de coopération d'acheteurs majeurs comme l'Inde et la Chine.