Néanmoins, ces achats représentent encore une manne financière estimée à 15 milliards d'euros par an pour le Kremlin.

Le plan, qui doit maintenant être négocié avec le Parlement européen, prévoit une sortie progressive. Le Parlement, de son côté, pousse pour un calendrier encore plus ambitieux, avec une interdiction dès le 1er janvier 2026. Cette initiative s'inscrit dans un effort plus large de sanctions, incluant également des mesures contre le gaz naturel liquéfié (GNL) russe.